STAGE CLOWN 29 ET 30 MARS 2014
Mardi 7 décembre 2010, en partenariat avec la municipalité d'Auxonne, et la communauté de commune du Pays Saône Vingeanne, la Cie le Turlupin a accueilli à la salle événementielle, la Cie l'Oreille Interne pour son spectacle Oedipe Tyran.
Spectacle mise en scène de façon inédite, et très contemporaine, cette pièce de Sophocle souvent traduite sous le titre d'Oedipe Roi.
L'accueil de ce spectacle s'inscrit dans notre démarche entreprise depuis 2009 autour de la création "Celles qui savaient..." (qui donne la parole aux femmes des mythes de l'antiquité grecque), faire découvrir ou rappeler certains mythes fondateurs de l'antiquité grecque, toujours revisités au travers des siècles et tout particulièrement aujourd'hui
La lecture proposée par Eric Ferrand, dans son interprétation usant de moyens technologiques importants, a cette particularité de respecter les codes du théâtre antique : diffusion du son du choeur au moyen de 15 haut parleurs entourant le public, analogie du choeur antique , le choeur constiuté par les anciens de la cité, nos anciens d'aujourd'hui enregistrés en maison de retraite ; 3 acteurs hommes, jouent les 8 personnages dont une femme comme à l'époque.
Respect de l'unité de temps (une journée) au moyen d'une projection vidéo, chorégraphie et musiques sont au rendez-vous
La vidéo en direct, l'utilisation d'outils médiatiques renforcent l'actualisation du texte et du rôle de ce théâtre, témoin des rapport entre le pouvoir (les rois et décideurs pour la cité) et le peuple (le choeur, aussi le public)
Merci à Sylvain Voizenet pour les photos
Dire, jouer, chanter cette bataille épique de Gilliat, marin de Guernesey. Une bataille avec les éléments, l'océan, la tempête, une pieuvre, une bataille avec lui-même.
La bataille d'un homme de "rien", persuadé qu'en sauvant un navire échoué il gagnera l'amour d'une femme et l'estime d'une population braquée dans les jugements sans appel.
Une lutte perue d'avance avec la destinée, une lutte, à mort mais lutte furieusement vivante d'un "misérable" qui ne baisse pas les bras. '(Paul Fructus)
1866, Victor Hugo est en éxil à Guernesey "Je dédie ce livre au rocher d'hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l'île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable" Victor Hugo
LE-MONDE-MER-MARS-2010
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